"Tous les jours est un voyage" spectacle de clown poétique et drôle

Synopsis:
Maïone vit dans la rue aux prises avec la solitude et la précarité. Grâce à son imaginaire, cette vagabonde touchante et décalée fait face à l'adversité, transformant chaque petit drame en voyage surprenant dans un univers à la fois absurde et poétique.
Un solo de clown tendre et réjouissant dans lequel le public se laisse entrainer.

Le propos:
Avec humour et légèreté, le spectacle aborde de grandes problématiques d'une société. Précarité, exclusion, solitude, et amour (ou manque d'amour) sont les thèmes forts de ce spectacle.
La création de Tous les jours est un voyage a débuté au Brésil où la misère est omniprésente. La montée des inégalités en France et dans le monde, l'augmentation de mal logés et de sans abris ont renforcé l'envie de créer un personnage vagabond ne possédant que quelques sacs, ses rêves et son imagination. Les spectateurs sont alors les témoins gênants de son exclusion mais aussi les complices de son aventure. Si le fond est teinté de précarité, il est également question de voyage, d'espoir, de rencontre de l'autre. Une correspondance amoureuse imaginaire devient le fil rouge de ce solo qui, avec plusieurs niveaux de lectures, s'adresse autant aux adultes qu'aux enfants.
Ce monologue quasiment muet, guidé par l'expression corporelle et le mime, conduit le public dans un voyage émotionnel au travers de situations cocasses très éloignées des pitreries du clown de cirque.

Dans les journaux:

« […] Le théâtre clownesque est peut-être le théâtre le plus proche de la réalité. Des rires mais une vérité poignante, de la poésie mais des larmes pour une vie trop dure pour des êtres trop sensibles, trop humains. On était bien là ce mardi au coeur de ce problème, celui de la condition humaine.»
L'éveil oct 2010

« Un sac en plastique qui se transforme en barque, des chaussettes qui dansent un tango effréné, une boite aux lettres qui semble se remplir sans fin… [...] A côté des multiples clowneries qui provoquèrent l'hilarité des plus jeunes, le spectacle avait un autre sens, bien plus profond. »
Courrier de Madagascar nov 2010

« […] un réjouissant solo de clown où poésie, émotion et rire se conjuguent avec délicatesse. »
La tribune, Le progrès avril 08

« […] Un clown très éloigné des archétypes du cirque.
Un énorme sac, en vichy bleu. Des pieds qui en sortent, qui gigotent. Des bulles de savon, une éponge, bref, une toilette que l'on imagine sommaire. Des chaussettes dépareillées. Une bouille ronde, un chapeau de bain…
[…] Parmi d'autres trouvailles, parions que le tango des chaussettes restera gravé dans la mémoire des spectateurs. »
La tribune, Le progrès avril 08

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